Nous sommes viscéralement attachés au tirage papier d’un journal. C’est la seule façon dont les écrits restent. Sur les réseaux numériques, la pensée prend le même chemin que la parole, elle s’envole. Les lettres numériques sombrent dans le néant, très peu lues, presque jamais classées et sans aucun intérêt pour les archives.
Chaque Echo Val de Seine que vous lisez actuellement nous coûte plus de 1500 euros, soit 6000 euros sur un an. Nous expédions, tous les trimestres, plusieurs centaines d’exemplaires du journal papier, que ce soit à nos adhérent·e·s ou à des personnes ayant marqué leur intérêt une année en s’abonnant et ou en adhérant quelque temps. Mais nous ne pouvons laisser penser que sans abonnement et/ou adhésion, le journal continuera d’être servi. Nous ne diffuserons plus de numéros papier gratuits sans paiement d’un abonnement, notre modèle économique n’y survivrait pas. Nous maintiendrons une diffusion papier pour nos seuls abonnés et quelques exemplaires pour des institutions et partenaires sans budget.
Nous généraliserons une diffusion numérique à partir de notre page Facebook et de notre site avec un délai de deux semaines sur l’impression papier. Ainsi les adhérent·e·s seront bien servis en priorité et l’accès à notre travail toujours ouvert à toutes et tous.
Val de Seine Vert