Mon premier est le GRAND PARIS, un projet urbanistique qui englobe Paris et la petite couronne (92, 93, 94).
Mon deuxième est le GRAND PARIS EXPRESS, un nouveau métro automatique qui fait le tour de la capitale en interconnectant différents moyens de transport. Il est mis en œuvre par la SOCIÉTÉ DU GRAND PARIS, c’est mon troisième.
Mon quatrième est PARIS MÉTROPOLE, un syndicat de maires qui réfléchit au devenir du Grand Paris.
Mon cinquième est GRAND PARIS AMÉNAGEMENT, encore un syndicat mais qui regroupe des promoteurs et des élus de toute l’Île-de-France pour conduire des projets urbains.
Hors compétition : L’ATELIER INTERNATIONAL DU GRAND PARIS, un groupement d’intérêt public, plus « scientifique » créé en 2010, qui semble actuellement en sommeil.
Il y a enfin les nouvelles structures qui découlent du Grand Paris, comme, par exemple, les établissements publics territoriaux (EPT) qui ont remplacé les intercommunalités et qui sont en passe d’absorber les départements.
Et mon tout ?
Mon tout est le Grand Paris, un gros machin avec de multiples facettes. Trop compliqué ? Trop confus ? Trop mouvant ? Peut-être, d’autant que toutes ces structures peinent à s’ouvrir à la société civile. En attendant, c’est là que se construit la ville de demain, nous devons en être.
Luc Blanchard
Chargé de mission Grand Paris à FNE-IDF. Je siège depuis décembre 2017 au conseil de développement de GRAND PARIS AMÉNAGEMENT, au titre de France nature environnement